« Terroristes »

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Que dire, que penser, que faire, face à l’horreur ?

La terreur engendre cette horreur. Depuis 1794, la dénomination de « terrorisme », en France, désigne d’abord un mode de lutte violente contre une partie de la population.
Au XIXème siècle, le terme évolue pour caractériser une action violente et intense contre l’Etat.
Si l’on accepte que la sanction nous vienne du « jus terrendi », il y a là des réactions possibles par la dissuasion criminelle en direction de ceux qui s’attaquent à la société.

La définition du terrorisme s’articule selon deux acceptions.
D’une part, il s’agit bien d’une violation des principes du droit à la vie humaine. Dans ce contexte, le « crime contre l’humanité » est patent.
D’autre part, et selon la proposition de l’ONU de 2004, on peut définir le terrorisme de la manière suivante : « Tout acte commis dans l’intention de causer la mort ou des blessures graves à des civils ou à des non-combattants, qui a pour objet, par sa nature ou son contexte, d’intimider une population ou de contraindre un gouvernement ou une organisation internationale à accomplir un acte ou à s’abstenir de le faire ».
En bref, et selon les dictionnaires, les textes criminels et les définitions que l’on trouve sur Internet, notamment, le terrorisme est l’action de terreur criminelle, instrumentée contre une personne, une société, une population, à des fins idéologiques, politiques ou religieuses.

Samedi 7 octobre 2023, en violation flagrante et manifeste au droit général de l’humanité, à vivre, et à vivre en toute quiétude, une lâche et odieuse attaque du Hamas, reconnu comme organisation terroriste, par des organes dirigeants des grandes structures étatiques et internationales, a été déclenchée par le Hamas, contre l’Etat d’Israël.
Au-delà de l’antisémitisme récurrent qu’il faut éradiquer, c’est la civilisation occidentale, judéo-chrétienne, qui est ainsi attaquée. Les massacres des enfants, des femmes, des hommes, des vieillards renvoient aux heures les plus sombres des massacres perpétrés lors de conflits, où les non combattants ont été tués, massacrés, brûlés vifs, y compris dans des lieux sacrés. L’horreur qui en résulte atteint chacune et chacun dans son âme. Le lecteur trouvera ci-après les articles de presse qui relatent la terreur que ces attaques inspirent. Que cette lecture permette au libre arbitre de s’exprimer, de condamner ces terroristes !
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André Dulou, Président de la Gironde de la société des membres de la Légion d’honneur, président d’Aquitaine des membres de la Légion d’honneur décorés au péril de leur vie.
Il a travaillé dans une grande entreprise de construction navale, puis Ancien élève de l’école militaire d’administration, il devient Chancelier, chef dE cabinet, spécialiste des questions d’événements graves, il quitte le service actif avec le grade de colonel.
Diplômé technique, breveté, il est auditeur du CFRH et de l’IHEDN.
Écrivain, historien, rédacteur en chef de la revue Floréal an X.
Il est Directeur Média, Mémoire et Patrimoine d’ESPRITSURCOUF.
André Dulou est l’auteur de nombreux romans….plusieurs ont été présentés dans la rubrique LIVRES d’ESPRITSURCOUF dans les numéros 116 du 15 juillet 2019 « Campagne interdite », 133 du 09 mars 2020 « Amère Discipline » et 149 du 19 octobre 2020 son dernier ouvrage « Cyber-Caprices ».

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