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« Évolutions, Taxations,
Révolutions »

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Si on évoque souvent l’histoire comme « un éternel recommencement », nous voilà, en Europe, et en France plus particulièrement, face à une situation qui est loin d’être inédite.
Nos racines sont bien dans cette paysannerie, qui, au cours des siècles passés, a permis aux Français d’être nourris, de concevoir une certaine « noblesse » dans les métiers de la terre, et d’être fiers de ce que notre économie comportait cette « souveraineté alimentaire », que les uns, les unes et les autres ont soudain découverte, à l’aune de ce que les médias nomment « colère des agriculteurs ».
Mais les agriculteurs ne sont pas les seuls à réveiller la pratique des cahiers de doléances.
Comptons avec les chauffeurs de taxis, avec les employés des compagnies aériennes, et prenons ainsi les indicateurs d’une société que d’aucuns affectent de la qualification « en déclin ». En effet, la facilité avec laquelle il est rendu compte de ce qui se passe au cœur des territoires engage des influences négatives, dans des ensembles où notamment, l’extension des champs d’action a contribué à des pertes à la fois de considération et de maturité économique.

Les communautés économiques parviennent-elles aux limites que personne n’a vu venir ?

Les dirigeants se contorsionnent pour arrêter certaines pratiques. D’autres paraissent découvrir que les réglementations ne sont pas appliquées. D’autres enfin embrassent des décisions qui auraient pu empêcher la paralysie économique d’une part non négligeable de la société.
Dans ces maelströms mal maîtrisés, la population soutient celles et ceux qui réclament.
La diabolisation politique, de la part de celles et de ceux qui sont chargés d’informer, n’y fait rien : « le peuple souverain s’avance… »
Alors, au travers de mots où chavirent les opinions, c’est vers l’ordre que se tournent les gens, et ce n’est pas n’importe lequel.
Il ne s’agit en effet pas de manifestations qui engendrent le désordre, auxquelles assiste la population. Les heurts sont peu nombreux, et les actions sont elles-mêmes ordonnées.

Que dire, alors, de ce qui fait la défense de nos sols, de nos territoires, selon les vertus et les talents de
nos paysans ?

La défense appartient à cette catégorie que nous ne pouvons oublier, au sein de sa globalité : il s’agit de la défense économique.
Elle est spécifique à la défense française, cette globalité !

Que la lecture de ces mots, permette au libre arbitre de s’exprimer, de prendre la hauteur de la réflexion, sans acrimonie, et restant ferme dans ses convictions de chercher la meilleure solution de son propre bonheur, à travers celui des autres.

Bonne réflexion !

André Dulou, Président de la Gironde de la société des membres de la Légion d’honneur, président d’Aquitaine des membres de la Légion d’honneur décorés au péril de leur vie. Il a travaillé dans une grande entreprise de construction navale, puis Ancien élève de l’école militaire d’administration, il devient Chancelier, chef dE cabinet, spécialiste des questions d’événements graves, il quitte le service actif avec le grade de colonel. Diplômé technique, breveté, il est auditeur du CFRH et de l’IHEDN. Écrivain, historien, rédacteur en chef de la revue Floréal an X. Il est Directeur Média, Mémoire et Patrimoine d’ESPRITSURCOUF. André Dulou est l’auteur de nombreux romans….plusieurs ont été présentés dans la rubrique LIVRES d’ESPRITSURCOUF dans les numéros 116 du 15 juillet 2019 « Campagne interdite », 133 du 09 mars 2020 « Amère Discipline » et 149 du 19 octobre 2020 son dernier ouvrage « Cyber-Caprices ».

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